The Burning Plain (2008)
Il y a des films sur lesquels il faut tomber par hasard, sans rien savoir de leur scénario ni de leurs mystères. Pas de bande-annonce, pas de critique. The Burning Plain, cet enchevêtrement de vies déconstruites qui s'entrecroisent à quelques décennies de distance, a provoqué en moi un plaisir véritable de cinéphile, un plaisir devenu aussi rare que le cinéma d'auteur authentique. Cousine et moi avons grandement apprécié ce long-métrage américano-mexicain lent, long, bien maîtrisé, parfois un peu prévisible mais dont l'excellent casting pardonne les petites gaffes — une musique maladroite et une finale fade. Les grands noms Kim Basinger et Charlize Theron, aux rôles tout en douleur et en nuances, sont épaulés par de nouveaux venus qui sonnent vrai — surtout la petite Mexicaine aux cheveux ondulés —, qui tracent un très beau portrait de ces êtres humains qui vivent souvent dans l'ombre. Déroutant, passionnant à coup sûr.
Il y a des films sur lesquels il faut tomber par hasard, sans rien savoir de leur scénario ni de leurs mystères. Pas de bande-annonce, pas de critique. The Burning Plain, cet enchevêtrement de vies déconstruites qui s'entrecroisent à quelques décennies de distance, a provoqué en moi un plaisir véritable de cinéphile, un plaisir devenu aussi rare que le cinéma d'auteur authentique. Cousine et moi avons grandement apprécié ce long-métrage américano-mexicain lent, long, bien maîtrisé, parfois un peu prévisible mais dont l'excellent casting pardonne les petites gaffes — une musique maladroite et une finale fade. Les grands noms Kim Basinger et Charlize Theron, aux rôles tout en douleur et en nuances, sont épaulés par de nouveaux venus qui sonnent vrai — surtout la petite Mexicaine aux cheveux ondulés —, qui tracent un très beau portrait de ces êtres humains qui vivent souvent dans l'ombre. Déroutant, passionnant à coup sûr.