Après le défi Sam Mendes, voici le défi Paul Thomas Anderson. Il s'agit d'un jeune réalisateur que je trouve très prometteur et qui semble avoir un talent hors du commun. De plus, il est l'auteur des histoires racontées dans ses films. Voici sa filmographie:
Sydney / Hard Eight ... pas vu
Boogie nignts ................ vu (mais à revoir car ça fait trop longtemps)
Magnolia ....................... vu
Punch Drunk Love .......vu
There will be Blood ......vu
À toi cousin et cousine G aussi si ça te tente !
ps, je sais, je n'ai pas terminé le défi Sam Mandes mais comme j'ai une longueur d'avance pour le défi PTA, ça s'équivaut !
À venir: mon appréciation de chacun de ses films..
mardi 29 septembre 2009
lundi 28 septembre 2009
L'Heure d'été
La bande-annonce laissait entrevoir l'Heure d'été comme un film vivant, joyeux, familial, très français, et j'avais de bonnes attentes de ce long-métrage d'Olivier Assayas. Même si le résultat n'est pas mal du tout, j'ai quelques réserves.
L'histoire en elle-même est banale : pour l'occasion de l'anniversaire de leur mère, deux frères et une soeur se rassemblent avec leur famille respective dans la grande maison de campagne familiale. La mère, qui fête ses 75 ans, profite du moment pour parler à l'aîné, Frédéric, de la succession dont il aura à s'occuper lorsqu'elle mourra - car la maison est remplie de reliques et d'oeuvres d'art du célèbre oncle Paul Berthier. Quand, peu de temps après, elle meurt effectivement, c'est le brouhaha dans la famille pour vendre les meubles antiques, toiles, carnets et sculptures qui parsèment la demeure. Et aussi pour décider si la maison sera vendue ou pas.
Même si le thème principal (la querelle de famille autour de l'héritage) a déjà été abondamment traité, l'originalité du film réside dans la très grande présence de l'art sous toutes ses formes. Il faut dire que l'Heure d'été découle d'un projet de quatre courts-métrages commandés par le Musée d'Orsay pour son 20e anniversaire - musée qui apparaît d'ailleurs plusieurs fois dans le film (pour plus de détails, fouillez ici).
Olivier Assayas aborde plusieurs thèmes qui se trouvent aussi dans ses autres oeuvres cinématographiques : la famille qui n'a plus le temps de se voir, les enfants qui vieillissent en se détachant du passé, la mort bien évidemment. Bien que la mort de la pauvre dame soit un peu bâclée (!), les thèmes sont traités avec tact.
La musique, lorsqu'il y en a, est magnifique; c'est bien l'un des aspects que j'ai le plus appréciés. La photographie est quant à elle irréprochable, mais je déplore quand même plusieurs plans flous, une caméra qui bouge beaucoup et plusieurs erreurs qui à mon avis n'auraient pas dû échapper au réalisateur.
Mon coup de coeur? Le personnage de la bonne et cuisinière de la grande maison de campagne. Simple, peu loquace, elle a un regard qui en dit long sur ce que le cinéma peut transmettre par le simple biais d'un personnage secondaire. C'est elle qui, à mon avis, fait figure de pilier du film.
Malgré plusieurs longueurs, où on se perd un peu dans l'histoire sans savoir où tout ça va mener, les personnages sont bien campés, dans un environnement bien mis en valeur. La fin du film est à mon avis ce que le réalisateur aurait pu faire de mieux; ce qui est quand même une belle qualité.
L'Heure d'été n'est donc pas un grand film, puisqu'il n'y a pas grand chose qu'on peut en retirer. À voir une fois, sans plus. Le scénario, un peu faible, manque d'un fil conducteur ou d'une étincelle qui aurait pu en faire un film à retenir.
L'histoire en elle-même est banale : pour l'occasion de l'anniversaire de leur mère, deux frères et une soeur se rassemblent avec leur famille respective dans la grande maison de campagne familiale. La mère, qui fête ses 75 ans, profite du moment pour parler à l'aîné, Frédéric, de la succession dont il aura à s'occuper lorsqu'elle mourra - car la maison est remplie de reliques et d'oeuvres d'art du célèbre oncle Paul Berthier. Quand, peu de temps après, elle meurt effectivement, c'est le brouhaha dans la famille pour vendre les meubles antiques, toiles, carnets et sculptures qui parsèment la demeure. Et aussi pour décider si la maison sera vendue ou pas.
Même si le thème principal (la querelle de famille autour de l'héritage) a déjà été abondamment traité, l'originalité du film réside dans la très grande présence de l'art sous toutes ses formes. Il faut dire que l'Heure d'été découle d'un projet de quatre courts-métrages commandés par le Musée d'Orsay pour son 20e anniversaire - musée qui apparaît d'ailleurs plusieurs fois dans le film (pour plus de détails, fouillez ici).
Olivier Assayas aborde plusieurs thèmes qui se trouvent aussi dans ses autres oeuvres cinématographiques : la famille qui n'a plus le temps de se voir, les enfants qui vieillissent en se détachant du passé, la mort bien évidemment. Bien que la mort de la pauvre dame soit un peu bâclée (!), les thèmes sont traités avec tact.
La musique, lorsqu'il y en a, est magnifique; c'est bien l'un des aspects que j'ai le plus appréciés. La photographie est quant à elle irréprochable, mais je déplore quand même plusieurs plans flous, une caméra qui bouge beaucoup et plusieurs erreurs qui à mon avis n'auraient pas dû échapper au réalisateur.
Mon coup de coeur? Le personnage de la bonne et cuisinière de la grande maison de campagne. Simple, peu loquace, elle a un regard qui en dit long sur ce que le cinéma peut transmettre par le simple biais d'un personnage secondaire. C'est elle qui, à mon avis, fait figure de pilier du film.
Malgré plusieurs longueurs, où on se perd un peu dans l'histoire sans savoir où tout ça va mener, les personnages sont bien campés, dans un environnement bien mis en valeur. La fin du film est à mon avis ce que le réalisateur aurait pu faire de mieux; ce qui est quand même une belle qualité.
L'Heure d'été n'est donc pas un grand film, puisqu'il n'y a pas grand chose qu'on peut en retirer. À voir une fois, sans plus. Le scénario, un peu faible, manque d'un fil conducteur ou d'une étincelle qui aurait pu en faire un film à retenir.
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Critique de film,
Films vu par Gene
Cousine a vu: La Strada
J'ai enfin écouté ce classique de Frederico Fellini. Et j'ai été emportée et fascinée. Dans ce film, deux monde cohabitent: celui de la douceur, de la candeur, du bonheur facile et de l'amour que l'on retrouve dans le personnage de Gelsomina. Puis celui de la violence, du vice et de la brutalité contenu dans le personnage de Zampano. Au fil du temps, les qualités de Gelsomina seront assombrie par la dureté de Zampano. De plus, l'histoire évolue dans une Italie pauvre et sombre, dans un climat d'après guerre, de destruction et de construction. Un film magnifique !
vendredi 25 septembre 2009
Whatever Works : une critique
En tant que Soeur de Cousin et cousine de Cousine, j'ai été invitée à mettre mon grain de sel sur ce blog consacré au cinéma. Ayant moi aussi beaucoup d'intérêt pour le septième art, et comme je suis inscrite au ciné-club pour un an, je profiterai du contexte pour partager avec vous, chaque semaine, mes dernières découvertes du cinéma de répertoire.
De l'ahurissante filmographie de Woody Allen, je n'en avais regardé qu'un seul (le très bon Vicky Cristina Barcelona) avant de voir Whatever Works.
Alors qu'il a l'habitude se mettre lui-même en scène, cette fois Woody Allen a choisi un homme de sa charpente (même qu'il lui ressemble) pour interpréter son personnage principal, Boris Yellnikoff. Celui-ci, même s'il a raté son mariage, son suicide et le prix Nobel de physique, est un génie et se considère supérieur à la majorité des humains. Homme cynique et très pessimiste, il découvre un soir sur le pas de sa porte une jeune fille de 21 ans, Melodie, avec laquelle il développe une relation qu'on aurait d'abord crue incompatible - car elle est douce, spontanée, alors que lui fait un usage excessif d'insultes et de critiques lapidaires du monde.
Fidèle à ses habitudes, Woody Allen questionne les relations de couple et le sens de la vie avec de bons dialogues, amusants tout en étant réalistes. Le caractère fort de Boris, ses apartés à la caméra et sa vie de couple avec Melodie s'enchaînent dans une série d'événements rocambolesques auxquels ont croit souvent, d'autres fois moins. Les thèmes exploités (amour, sexe, vie, carrière, religion) entraînent facilement dans le tourbillon de Manhattan grâce aux personnages bien campés, qui prennent tous un virage à 180 degrés à leurs heures.
J'ai toutefois été ennuyée par quelques répliques et monologues de Boris, où son pessimisme devient ma foi franchement lassant - l'objectif est souvent d'être drôle alors que ça ne l'est pas toujours. De plus, comme il s'agit encore d'une comédie «romantique», le sujet semble parfois s'essouffler et tomber dans le cliché. Une avenue sur laquelle il est bien facile de s'aventurer...
Points positifs? Sans hésiter : des acteurs crédibles et une atmosphère agréable qui demeure tout au long du film. Points faibles? Scénario redondant et quelques moments clichés qui font hausser les sourcils. Dans l'ensemble, un long-métrage à voir pour ses bons plans, les rires inévitables et l'histoire-qui-finit-bien. Mais Whatever Works n'a pas le potentiel pour devenir un chef-d'oeuvre du cinéma. Un divertissement réfléchi, voilà tout.
De l'ahurissante filmographie de Woody Allen, je n'en avais regardé qu'un seul (le très bon Vicky Cristina Barcelona) avant de voir Whatever Works.
Alors qu'il a l'habitude se mettre lui-même en scène, cette fois Woody Allen a choisi un homme de sa charpente (même qu'il lui ressemble) pour interpréter son personnage principal, Boris Yellnikoff. Celui-ci, même s'il a raté son mariage, son suicide et le prix Nobel de physique, est un génie et se considère supérieur à la majorité des humains. Homme cynique et très pessimiste, il découvre un soir sur le pas de sa porte une jeune fille de 21 ans, Melodie, avec laquelle il développe une relation qu'on aurait d'abord crue incompatible - car elle est douce, spontanée, alors que lui fait un usage excessif d'insultes et de critiques lapidaires du monde.
Fidèle à ses habitudes, Woody Allen questionne les relations de couple et le sens de la vie avec de bons dialogues, amusants tout en étant réalistes. Le caractère fort de Boris, ses apartés à la caméra et sa vie de couple avec Melodie s'enchaînent dans une série d'événements rocambolesques auxquels ont croit souvent, d'autres fois moins. Les thèmes exploités (amour, sexe, vie, carrière, religion) entraînent facilement dans le tourbillon de Manhattan grâce aux personnages bien campés, qui prennent tous un virage à 180 degrés à leurs heures.
J'ai toutefois été ennuyée par quelques répliques et monologues de Boris, où son pessimisme devient ma foi franchement lassant - l'objectif est souvent d'être drôle alors que ça ne l'est pas toujours. De plus, comme il s'agit encore d'une comédie «romantique», le sujet semble parfois s'essouffler et tomber dans le cliché. Une avenue sur laquelle il est bien facile de s'aventurer...
Points positifs? Sans hésiter : des acteurs crédibles et une atmosphère agréable qui demeure tout au long du film. Points faibles? Scénario redondant et quelques moments clichés qui font hausser les sourcils. Dans l'ensemble, un long-métrage à voir pour ses bons plans, les rires inévitables et l'histoire-qui-finit-bien. Mais Whatever Works n'a pas le potentiel pour devenir un chef-d'oeuvre du cinéma. Un divertissement réfléchi, voilà tout.
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En réponse à cousine
Voici un video du même genre que celui des cellulaires mais cette fois c'est avec FUCK dans Scarface.
Ce video ne dévoile rien du film, ne vous inquiétez pas si vous ne l'avez jamais vu comme moi.
Ce video ne dévoile rien du film, ne vous inquiétez pas si vous ne l'avez jamais vu comme moi.
Les cellulaires au cinéma
Voici un montage sur le thème du cellulaire qui ne fonctionne pas.
La preuve que maintenant, l'utilisation (surtout la non-utilisation...) de cellulaires dans un moment de suspense est rendu un cliché !
Merci à La Clique pour le lien.
La preuve que maintenant, l'utilisation (surtout la non-utilisation...) de cellulaires dans un moment de suspense est rendu un cliché !
Merci à La Clique pour le lien.
mercredi 23 septembre 2009
Film que j'ai vu dernièrement
En fait, il y en a un seul: 3 Needles (3 Destins)
C'est un film dans le genre Violon rouge ou encore Babel: des histoires qui n'ont pas vraiment de lien entre elles et qui se passent à des lieux différents dans le monde. Et comme le violon de Violon Rouge, il y a un lien qui réuni toute ces histoires, ici c'est le sang. Pas le sang dans le sens de liens familiaux, mais vraiment le sang lui-même. Finalement, même si le film a pour but de nous faire la morale, l'histoire est pas mal avec même quelque petit évènements surprenants ici et là. Autre fait à noter: une partie de l'histoire se passe à Montréal. Même si le film est tourné en anglais, il y a quelques scènes qui se passent en français (québécois) fiou !!!
C'est un film dans le genre Violon rouge ou encore Babel: des histoires qui n'ont pas vraiment de lien entre elles et qui se passent à des lieux différents dans le monde. Et comme le violon de Violon Rouge, il y a un lien qui réuni toute ces histoires, ici c'est le sang. Pas le sang dans le sens de liens familiaux, mais vraiment le sang lui-même. Finalement, même si le film a pour but de nous faire la morale, l'histoire est pas mal avec même quelque petit évènements surprenants ici et là. Autre fait à noter: une partie de l'histoire se passe à Montréal. Même si le film est tourné en anglais, il y a quelques scènes qui se passent en français (québécois) fiou !!!
Le réalisateur de ce film est Thom Fitzgerald. En regardant sa filmographie (ce que je fais presque chaque fois que je regarde un film) j'ai découvert que c'est lui qui a réalisé The Wild Dogs (2002). Un film que j'ai vu il y a quelques années et que j'avais vraiment aimé. L'histoire se passe en Roumanie et démontre la dure réalité de ce pays que j'ai eu la chance de visiter. J'ai d'ailleurs trouvé que sa vision était très juste et que l'ambiance que dégage le pays était plutôt bien reproduite.
vendredi 18 septembre 2009
Le défi Sam Mendes
Je veux lancer un petit défi à cousine: écouter tout les films de Sam Mendes qui ont suivi Beauté Américaine afin de voir comment il a évolué depuis. Puis ensuite en discuter ici dans les commentaires.
Bon voici ses films depuis :
1999: American Beauty --> VU
2002: Road to Perdition --> VU
2005: Jarhead --> PAS VU
2008: Revolutionnary Road --> VU
2009: Away We Go --> PAS VU
Donc il m'en reste 2 à voir. American Beauty et Road to Perdition son commentés dans le post Films que j'ai vu cette semaine
J'ai vu Revolutionnary Road 2 fois et c'est un bon film, meilleur selon moi que Road to Perdition. Leonardo Dicaprio et Kate Winsley son de retour ensemble et le film est très bon (j'ai beaucoup aimé le sujet amené) jusqu'à ce qu'un manné le film prend une tournure un peu moins intéressante je trouve. Mais c'est à voir assurément si on a pas vu.
Donc cousine dis moi si tu participe à ce petit défi et si tu as vu un des autres films de Sam.
Et moi donc je me lance dans l'écoute des 2 derniers qu'il me reste et j'en redonne des nouvelles.
Bon voici ses films depuis :
1999: American Beauty --> VU
2002: Road to Perdition --> VU
2005: Jarhead --> PAS VU
2008: Revolutionnary Road --> VU
2009: Away We Go --> PAS VU
Donc il m'en reste 2 à voir. American Beauty et Road to Perdition son commentés dans le post Films que j'ai vu cette semaine
J'ai vu Revolutionnary Road 2 fois et c'est un bon film, meilleur selon moi que Road to Perdition. Leonardo Dicaprio et Kate Winsley son de retour ensemble et le film est très bon (j'ai beaucoup aimé le sujet amené) jusqu'à ce qu'un manné le film prend une tournure un peu moins intéressante je trouve. Mais c'est à voir assurément si on a pas vu.
Donc cousine dis moi si tu participe à ce petit défi et si tu as vu un des autres films de Sam.
Et moi donc je me lance dans l'écoute des 2 derniers qu'il me reste et j'en redonne des nouvelles.
Film que j'ai hâte de voir
Il y a un film que j'ai hâte de voir et qui sort dans une semaine: Coco avant Chanel.
Pourquoi ? Parce que c'est un sujet qui m'intéresse. Je sais que Coco Chanel était un être spécial et très innovatrice mais je n'en sais pas beaucoup plus. J'ai donc hâte de la découvrir. De plus, elle se réincarnera par l'entremise d' Audrey Tautou que j'aime bien, une autre raison d'avoir hâte. Je vais sans doute aller le voir au cinéma et je vous donnerai des nouvelles dès que ce sera fait. Voici la bande annonce en attendant:
Pourquoi ? Parce que c'est un sujet qui m'intéresse. Je sais que Coco Chanel était un être spécial et très innovatrice mais je n'en sais pas beaucoup plus. J'ai donc hâte de la découvrir. De plus, elle se réincarnera par l'entremise d' Audrey Tautou que j'aime bien, une autre raison d'avoir hâte. Je vais sans doute aller le voir au cinéma et je vous donnerai des nouvelles dès que ce sera fait. Voici la bande annonce en attendant:
dimanche 13 septembre 2009
La vie moderne
J'aime bien ce genre de documentaire décrivant une réalité qui peut sembler bien ordinaire mais qui en fait en est tout autre. Ici, il s'agit d'agriculteurs français qui nous parlent, avec un naturel et une franchise foudroyants de leur misère, de leur quotidien et de ce que l'avenir leur réserve. Très intéressant !
Info: La vie moderne
En reprise à TV5 le 16 septembre à 10h am.
Info: La vie moderne
En reprise à TV5 le 16 septembre à 10h am.
mardi 8 septembre 2009
Le tripp(l)e des 9 (neufs)
Il y a des phénomènes comme ça que je me demande tout simplement c'est quoi le rapport.
1. District 9
2. Numéro 9
3. Neuf
Trois films un après l'autre qui ont 9 dans le titre. Ça a tu vraiment rapport avec, mettons, la fin de 2009? C'est tu voulu? Ça me semble un drôle de hasard...comme si c'étais voulu pour une raison X.
Entucas, si quelqu'un a une explication...
1. District 9
2. Numéro 9
3. Neuf
Trois films un après l'autre qui ont 9 dans le titre. Ça a tu vraiment rapport avec, mettons, la fin de 2009? C'est tu voulu? Ça me semble un drôle de hasard...comme si c'étais voulu pour une raison X.
Entucas, si quelqu'un a une explication...
DVD de la semaine
C'est rare que des films sont coté deux par Médiafilm, donc quand ça arrive, je m'arrange pour les voir, ne serait-ce que par pure curiosité. Cette semaine il en sort justement un en DVD:
Everlasting moments (Instants Éternels)
du suédois Jan Torell
Il s'agit d'un drame tournée sous forme de chronique historique.
Fiche du film
Everlasting moments (Instants Éternels)
du suédois Jan Torell
Il s'agit d'un drame tournée sous forme de chronique historique.
Fiche du film
mercredi 2 septembre 2009
Films que j'ai vu cette semaine
Road to Perdition, Sam Mendes, 2002.
Je voulais écouter ce film car j'aime bien le réalisateur (American Beaty). Bien que le film m'ai légèrement surpris (je ne m'attendais pas à un truc de gangster, ce qui, en général ne m'attire pas) j'ai tout de même bien aimé. C'est surement la touche Mendes, qui fait la différence !
Ben-X, Nic Balthazar, 2008
J'ai vraiment aimé ce film et je pense que cousin aussi aimerai. C'est un gars qui a de graves problèmes à l'école parce qu'il est différent (synd. Asperger) mais qui vit une vie parallèle sur les jeux en ligne. Vraiment bon, et très européen dans le traitement.
Je voulais écouter ce film car j'aime bien le réalisateur (American Beaty). Bien que le film m'ai légèrement surpris (je ne m'attendais pas à un truc de gangster, ce qui, en général ne m'attire pas) j'ai tout de même bien aimé. C'est surement la touche Mendes, qui fait la différence !
Ben-X, Nic Balthazar, 2008
J'ai vraiment aimé ce film et je pense que cousin aussi aimerai. C'est un gars qui a de graves problèmes à l'école parce qu'il est différent (synd. Asperger) mais qui vit une vie parallèle sur les jeux en ligne. Vraiment bon, et très européen dans le traitement.
Petite précision
Quand je marque dans un post que je vais aller voir certain films au cinéma, quand je l'ai vu je met mes commentaire dans le post original au lieu de créer un nouveau post. Alors n'ayez pas peur d'aller consulter les posts plus vieux pour voir lire mes commentaires sur mon visionnement. Pareil pour les films que cousine suggère; quand je l'ai vu, je met ma réponse dans les commentaires du post original.
mardi 1 septembre 2009
Une suite pour La Neuvaine
J'ai vraiment beaucoup aimé La Neuvaine, de Bernard Émond. Pour son prochain film, Les fins dernières, le personnage de Jeanne Dion (Élise Guilbeault) part vivre en Abitibi, à Normétal. Le film a réellement été tourné dans ce petit village du fin fond de l'Abitibi et il a même été écrit en fonction de lui. Intéressant ! Sortie: octobre 2009
Un article de Cyberpresse
Un article de Cyberpresse
Rectification du précédent post
Je viens de m'apercevoir qu'il y a un film qui est présentement au cinéma qui s'appelle Adam.
Je tiens à préciser que je ne parles pas de ce film mais bien du film de 2004 avec Robert De Niro, Adam, Godsend en anglais.
Je tiens à préciser que je ne parles pas de ce film mais bien du film de 2004 avec Robert De Niro, Adam, Godsend en anglais.
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